Guide de l'associé
Je suis associé. Je ne trouve plus ma place. J’y pense tout le temps.
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Votre situation
Vous êtes mal à l’aise avec votre associé :
Vous n’arrivez pas à comprendre ce qui se passe.
Les complications
Pourtant, il existe 3 signes simples pour détecter si votre associé nuit à votre succès.
Premier signe : l’opacité
Si votre associé cache des informations sur les décisions prises ou les finances de l'entreprise, ça peut être un indice de problèmes potentiels.
Pourquoi a-t-il plus d’infos que vous alors que vous êtes actionnaire tout comme lui ?
Deuxième signe : l’incohérence
Si votre associé change sans cesse d'avis sans raison. C’est usant sur la longueur.
Surtout quand il en parle aux clients et au personnel de la boîte sans vous avertir.
Troisième signe : un événement perturbateur
Un déménagement, une nouvelle relation, un mariage, une naissance, un burnout, une maladie, un divorce ou un décès sont des événements inhérents à la vie.
À chaque fois, ils ont un impact sur la personne qui les vit. C’est normal.
Mais il y a danger. Votre associé change.
Et votre association risque de ne plus être alignée.
C’est le signe le plus sous-estimé qui est, en réalité, le plus impactant.
La fausse solution
Pour éviter de penser à une séparation, vous faites l’autruche.
Le conflit enfle silencieusement.
Jusqu’au jour où la société implosera parce que vous serez à bout.
Et là, ou vous subirez un procès ou vous lancerez vous-même un procès tête baissée.
La pire des choses à faire est de partir au tribunal la fleur au fusil.
La solution
Une sortie amiable est souvent possible une fois que les clients à bout de leur associé ont livré deux combats cruciaux :
01. Le combat émotionnel
Bien souvent, les clients qui passent ma porte posent la même question :
« Qu’est-ce que je fais ? ».
Le processus pour accepter la fin d’une relation est laborieux. Par expérience, tant que le client est dans la culpabilité, il est incapable de savoir ce qu’il veut : rester ensemble ou se quitter.
Une association, c’est comme un couple. On ne se sépare pas sur un coup de tête en 24 heures.
Alors qu’une fois que la décision est prise, le « Comment je le fais ? » est beaucoup plus simple et rapide.
Le plus difficile est de ne pas culpabiliser injustement. Tout le monde a le droit de se tromper d’associé sans se flageller.
02. Le combat opérationnel
Quelle que soit la stratégie choisie (exit, rachat, scission ou liquidation), si vous voulez un effet de levier pour négocier, vous devez avoir un maximum de contrôle interne au sein de la société à tous les niveaux : clients, personnel, gestion comptable et informatique.
Celui qui a le pouvoir opérationnel a la plupart du temps les meilleures cartes.
Si vous l’avez, trouvez le moyen de le maintenir. Si vous ne l’avez pas, agissez pour gagner du terrain avant d’envisager toute procédure judiciaire.
Si vous n’avez pas conscience de ces deux étapes, tout l’argent que vous consacrez à votre conflit, c’est de l’argent jeté par les fenêtres.
Le bureau accompagne ses clients tant sur le plan émotionnel qu’opérationnel avant de traiter le juridique.
L'accompagnement
Pourtant, ce n’est pas grave de se séparer si un alignement n’est plus possible. Ce qui est grave, c’est d’endurer une situation atroce par peur de l’inconnu et des conséquences.
Je vous aide de trois façons dans votre transition :
Le coaching stratégique (1331€)
Tous les clients repartent après le premier rendez-vous avec une stratégie, un plan d’actions et une diminution de leur stress par deux.
Antidote
Le bureau donne accès à Antidote, un accompagnement semi-digital réservé aux clients du bureau qui ont choisi l’accompagnement à 360 degrés.
Second avis (3000€)
Pour les dossiers techniques et complexes déjà en cours depuis un certain temps au tribunal, le bureau donne - au cas par cas - un second avis pour vous éclairer sur votre situation et ajuster – si opportun – la stratégie.
Ils m’ont fait confiance
Nous en ressortons grandis !
Merci encore !
