Comment ma cliente Nathalie a failli se faire virer de sa propre société parce qu’elle a pris son associée Amanda pour son amie ?
Bilan de la collaboration avec Maître Debue
Nathalie se fait exclure de sa propre société. La société lui doit beaucoup d’argent.
Chaque matin, elle se lève avec la boule au ventre.
Nathalie a enfin obtenu son argent. Elle s’est séparée à un prix juste.
Elle a retrouvé sa liberté et son calme.
L’histoire de Nathalie
Ma cliente Nathalie a failli se faire virer de sa propre société parce qu’elle a pris son associée Amanda pour son amie.
Nathalie est une artiste renommée. Amanda a une structure qui lui permet de booster son business. Alors, elle approche Nathalie. Le charme opère. Elles montent une boîte ensemble.
Amanda prend 80 % des parts. Mais elle promet à Nathalie que la société la rémunérera comme apporteuse d’affaires. Le business démarre très bien.
Sauf qu’un an après, Nathalie n’a toujours pas touché un euro de commission.
Amanda la balade en reportant la signature du contrat d’apporteuse d’affaires.
Nathalie pète souvent les plombs. Mais le dialogue de sourds continue.
Pire, Amanda propose à Nathalie « 𝘶𝘯𝘦 𝘥𝘦́𝘭𝘦́𝘨𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘶 𝘱𝘪𝘭𝘰𝘵𝘢𝘨𝘦 𝘥𝘦 𝘭’𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦𝘱𝘳𝘪𝘴𝘦 » :
1) Le comptable : elle le change alors que Nathalie en avait mandaté un.
2) Le contact client : elle trouve une personne pour « aider » Nathalie.
3) Le marketing : elle lance un recrutement pour « soulager » Nathalie.
Nathalie questionne Amanda sur ses choix. À chaque fois, Amanda lui répond : « 𝙩𝙪 𝙣𝙚 𝙢𝙚 𝙛𝙖𝙞𝙨 𝙥𝙖𝙨 𝙘𝙤𝙣𝙛𝙞𝙖𝙣𝙘𝙚 ? ». Nathalie, la boule au ventre, s’en contente.
Jusqu’au jour où Nathalie tombe par hasard sur un de mes posts LinkedIn.
À bout de nerfs, elle me contacte. Elle réalise qu’Amanda aspire ses compétences et ses contacts dans le seul but de la jeter. C’est dur à accepter.
Après 3 mois d’accompagnement, j’ai aidé Nathalie à enfin obtenir ses commissions. Elle est en train de se séparer.
Elle a 2 ans de non-concurrence à respecter parce qu’elle a signé un pacte d’associés (trop) bien ficelé. Mais pour Nathalie, sa liberté n’a pas de prix.